jeudi 17 juillet 2008

Ensemble

M'aime bien savoir que tu es là,
si quotidien qu'un baissé au levé du jour.
J'aime bien que tu sois là.

Si les orages tombent,
on prenne une boîte en conserve
aux bons souvenirs.


Les étiquettes existeront toujours,
elles sont plus anciennes que nos prénoms.
Mais, le son de nos surnoms a existé que pour toi et moi
dès qu'on a appris nous aimer.

C'est bon que tu sois là.

Si le soleil revient chaque fois
c'est parce qu'il dors avec moi.

Ensemble mais libres.
Marcapasos.
Paysages grises et maisons anciennes.
Revenir inattendu et emportement d'amoureux.
Cries et pleure.
Danse d'angoisse dans une pensée obsessionnelle.
Plantes qui moirent au nom des rêves cassés.
Etre déçu, être en rêve, être en vide...
On découvre la vie.

Combien cycles faudra-t-il traverser en regardant le même chemin?
On sais rien.
Mais si parmi tout ce temps et tout cet espace de nos vies
on respectera les regardes et les envies complices,
on plongera dans les larmes autant que dans les rires,
on saura donner un respire dehors les normes,
et l'écoute dans tous ses formes...
Je voudrais que tu sois là.
Ensemble même que libres.

3 commentaires:

Lorenzo L'Episcopia a dit…

muchas gracia por tu visita.
Lorenzo
www.percorsofotografia.blogspot.com

Aurélia Jarry a dit…

Qué buena la "ñ", en serio!! Ravie d'être tombée chez toi... Véritable "dueña de la ñ"! A bientôt.

Leliepvre Alain a dit…

Bonjour,

J'ai lu votre commentaire concernant "affolantes effigies". L'image n'avait pas vraiment de rapport avec les J.O. (Je n'ai absolument as suivi l'événement...)
L'objet est fait à partir d'un coussin trouvé dans le commerce. Je trouve ce type d'objet très étrange. Un dictateur sanguinaire sous mes fesses ! Voilà...

(vos blogs me donnent envie de me remettre à l'espagnol...)

Amicalement,
Bonne continuation,
Alain.